La touche finale

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Aujourd'hui, après plusieurs semaines de travail, nous allions enfin achever la croix monumentale de la cathédrale Saint-Pierre à Saint Claude dans le .
Ce n'avait pas été une simple affaire. D'abord, il avait fallu trouver de pierre suffisamment grand compte tenu des dimensions exceptionnelles de .
D'ailleurs, toutes les pierres n'étaient pas adaptées à ce type de réalisation. Il fallait aussi qu'elle résiste au car la région est très froide. Qu'elle ait aussi une dureté suffisante et un aspect comparable au reste de l'édifice. Avec l'architecte en des monuments historiques nous avions convenu de sélectionner la pierre de Brétigny pour cette réalisation. En effet, la pierre d'origine n'était plus et les autres régionales n'offraient pas les capacités dimensionnelles ou qualitatives demandées .

Donc, ce matin j'attaquais la finition de la croix. Grâce à la débiteuse, nous avions pu pratiquer un épannelage en le gros de matière pour faciliter la taille des de la croix. Désormais la pierre était posée sur le chantier et je posais déjà le panneau, ou le si vous préférez, sur la pierre afin de la tracer. Après avoir marqué les traits au droit pour ne pas perdre l'arête, au bord, je dégageai le plus gros de la matière à . Cela faisait de gros Pok ! Lorsque la frappait sèchement l'outil. Pour enlever le reste de la matière là où les anciens auraient certainement utilisé un marteau grain d'orge, moi, j'effectuais cette opération avec une gradine, montée sur un pneumatique. Une fois ma face démaigrie, j'attaquais ensuite le du pourtour des faces, pour bien protéger les arêtes. Pour terminer, et mes faces, j'utilisais la boucharde. J'avais toujours un mètre et une à portée de mains pour vérifier la régularité de mon travail.

une fois la croix terminée, il fallait la pour être sûr qu'elle s'adapte parfaitement avec le socle massif déjà réalisé. Elle fut afin d'être redressée verticalement et déplacée jusqu'à son support. Une fois posée sur des coins en bois, à l'aide d'une , quelques réglages délicats furent nécessaires pour parfaire son alignement. Tout s'accordait et il ne devrait pas y avoir de problème sur le chantier.
Fier de notre travail, nous pûmes enfin poser fièrement devant l'ouvrage pour immortaliser ce travail d'atelier.